
Martine-Gabrielle Konorski
Le sommeil s’éloigne
seulement pour infliger
l’assourdissante battue
de la pendule
Consciences anachroniques
embuées de paroles
dans les ruines du corps
suspendu à nos heures.
(Martine-Gabrielle Konorski)
Il sonno s’impone
 va via solo per infliggere
 il battito assordante
 del pendolo
 Coscienze anacronistiche
 appannate di parole
 tra le rovine del corpo
 sospeso alle nostre ore.
